the frag hd essayer de ne pas pleurer

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Sa vidéo la plus populaire est 5 CHALLENGES DE NOURRITURE LES PLUS FOUS !

Description de sa chaîne [ ]

" Sur ma chaine vous trouverez des vidéos sur des blagues, conneries, punchlines en cours ! Mais aussi des vidéos flippantes à vous donner froid dans le dos.. :O Mais aussi des anecdotes incroyables sur ma vie et des lives décalés avec canulars, défis pimentés et des challenges ! "

Biographie [ ]

Florian Duval naît le 10 janvier 1996 a Paris, il a fait ses études dans l'animation radio et a obtenu son bac a 10 pile au rattrapage.

Carrière [ ]

TheFragHD lance sa chaîne en novembre 2011, l'origine du nom provient de Call Of Duty, ce qui était le sujet des premières vidéos.

Puis de 2013 a 2015, il se spécialise dans les challenges et les canulars téléphonique avec son frère, mais plus sur Call of Duty. Il a également lancé une série nommée Troll of Duty dans laquelle il s'amuse a troller d'autres joueurs.

Le 10 octobre 2015, TheFragHD passe le cap des 100 000 abonnés, et décide de faire 2 vidéos spéciales pour l'occasion, et se félicite du parcours accompli en 4 ans et demi sur sa chaîne.

En novembre 2016, TheFragHD arrête Call of Duty et commence sur sa chaîne des vidéos sur les Top 8 sur des photos ou des vidéos, il continue en parallèle des challenges et des pranks sur Fortnite avec son frère.

Le 8 mars 2018, il lance un nouveau concept sur sa chaîne, celui de lire les messages que ses abonnés lui ont envoyés, la 1ere vidéo ou il fait ceci se nomme "Les pires punchlines pour draguer une fille"

Il décide ensuite, de créer des vidéos sur le thème des cours, en juillet 2018, en nommant sa première vidéo "Les pire copies d'élèves et meilleurs punchlines de prof !"

Le 28 octobre 2018, TheFragHD passe le million d'abonnés a la Paris Games Week, en célébrant le passage du million avec la foule, mais aussi avec ses abonnés.

Depuis 2019, TheFrag publie des vidéos souvent sur les cours, les punchlines entre profs et élèves, les ruptures amoureuses, mais il fait également des lives challenges ou il demande sa communauté lui laisse choisir ses challenges (appel d'un hôtel, prise d'une cuillère avec une mixture bizarre, s'écraser un œuf sur la tête, etc...).

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Comment ne pas pleurer

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Les pleurs sont une réponse naturelle au malheur, à la tristesse, à la frustration et à d'autres émotions. Cependant, vous pourriez vous sentir complexé ou gêné de pleurer dans certaines situations dans lesquelles cela pourrait sembler déplacé ou vous aimeriez garder le contrôle de vos émotions. Pour rester maitre de vous, vous pouvez essayer des exercices de réflexion sur soi avant et pendant les situations qui vous donnent envie de pleurer. En plus, il existe plusieurs techniques que vous pouvez essayer qui proposent des distractions à ces situations.

Bien communiquer

• la tristesse
• la frustration

• Par exemple, si vous avez envie de pleurer dans une situation heureuse, demandez-vous si vous n'êtes pas en train de penser que c'est trop beau pour être vrai ou que cet instant va disparaitre  [2] X Source fiable Go Ask Alice Aller sur la page de la source .
• Si vous ressentez l'envie de pleurer lorsque quelqu'un vous évalue (par exemple pendant un examen au travail), déterminez si vos pensées vous font vous sentir critiqué, isolé personnellement, inadapté, etc.

• Par exemple, si on vous évalue au travail et si votre supérieur vous suggère des domaines dans lesquels vous pourriez vous améliorer, vous dites-vous : « je suis nul à mon travail » ou vous concentrez-vous sur des plans ou des actions spécifiques pour vous améliorer ?
• De la même façon, si un ami est énervé contre vous et si vous ressentez le besoin de pleurer, demandez-vous si vous n'êtes pas en train de vous dire : « mon ami me déteste » ou simplement : « j'ai fait quelque chose qui a mis mon ami en colère et je ne dois plus le refaire ».

• Parmi les formes répandues de critique de soi, on retrouve « je suis trop émotif », « les hommes ne pleurent pas » ou alors « ma vie est un échec ».
• Remplacez ces critiques par des pensées plus compatissantes, par exemple : « j'ai beaucoup travaillé sur ce projet et je suis fier de moi-même si je n'ai pas totalement réussi » ou alors « je me soucie vraiment de ce problème et je sais que j'y suis émotionnellement impliqué ».

• Lorsque vous pleurez et que les autres ont l'air surpris, vous devriez vous attendre à ce qu'ils se montrent compatissants au moins en vous disant : « je comprends que c'est quelque chose d'important pour vous » ou alors « je sais que tu es frustré »  [5] X Source de recherche .
• Si vous pleurez en face de quelqu'un qui n'a pas l'air de savoir comment réagir, vous ne devez pas l'ignorer. Vous pouvez essayer de dire quelque chose comme : « tu vois, c'est quelque chose de vraiment important pour moi » ou alors « je me sens vexé parce que ... » Cela va aider l'autre à comprendre ce qu'il se passe.

Mettre en place des distractions

Réfléchir à la situation

• Par exemple, si vous avez tendance à pleurer pendant les conflits familiaux, imaginez une situation dans laquelle vous discutez avec votre famille tout en restant posé et sûr de vous. Si vous pouvez imaginer votre apparence lorsque vous ne pleurez pas, vous aurez un plan.
• Si vous essayez d'éviter de pleurer lorsque vous prenez votre défense, imaginez des situations dans lesquelles vous le faites. Par exemple, imaginez rencontrer votre chef pour une évaluation de votre travail et dites-lui : « j'apprécie vos commentaires et j'aimerais partager avec vous mon point de vue sur le sujet ».
• Si vous essayez d'éviter de pleurer en public, imaginez-vous sur une scène à faire votre discours, votre présentation, etc. Ensuite, lorsque vous devrez parler en public, vous aurez déjà répété dans votre tête un résultat favorable.

Choisir le bon moment

• Si vous avez envie de pleurer en épluchant des ognons, essayez de les mettre au réfrigérateur pour les faire refroidir  [16] X Source de recherche . Autrement, vous pourriez essayer de verser un peu de jus de citron sur la zone où vous allez couper les ognons.

wikiHows en relation

• ↑ http://goaskalice.columbia.edu/answered-questions/crying-when-talking-authority
• ↑ https://www.psychologytoday.com/blog/constructive-wallowing/201406/is-crying-good-you-it-depends
• ↑ http://www.wright.edu/~scott.williams/skills/emotions.html
• ↑ https://www.themuse.com/advice/7-steps-to-avoid-crying-in-the-workplace
• ↑ https://hbr.org/2011/01/how-not-to-cry-at-work-even
• ↑ http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3849173/
• ↑ http://scienceline.org/2006/10/ask-driscoll-tears/
• ↑ http://www.sciencedaily.com/releases/2008/12/081217123831.htm

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La Pause Philo

Des réflexions en action

« Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre. » – Spinoza

Un extrait du Traité Politique de Spinoza qui résume la démarche du philosophe dans son analyse des comportements humains.

Ce n’est pas une condamnation des sentiments ou passions au profit de l’intellect et de l’analyse.

C’est une proposition de réconciliation entre la raison et les passions souvent opposées au cours de l’histoire de la philosophie.

Parce que rares sont ceux qui essayent de comprendre les passions humaines sans porter de jugement moral.

Spinoza s’oppose, avec cette citation, à l’idée selon laquelle la pensée et la raison doivent déterminer les sentiments. Pour lui, croire que le libre arbitre s’autodétermine seul et uniquement par la raison relève de l’illusion.

En effet, même quand la raison modère ou condamne certaines passions, elle est souvent sujette à des passions qu’elle ignore.

Vous savez, c’est un peu l’histoire du serpent qui se mord la queue…

Les philosophes et purs intellects qui ne pensent être soumis qu’à leur libre arbitre. Mais cela s’adresse aussi à tous ceux qui préfèrent se moquer (rire), s’indigner (pleurer) ou condamner (haïr) les mauvais usages de la raison.

Se moquer, s’indigner, haïr sont pour Spinoza des passions tristes qui éloignent de l’action dans le rapport que nous entretenons avec nous-même. Quand elles sont dirigées à tort vers les comportements humains, cela condamne pour le philosophe à la passivité.

Soyez donc positif et riez avec sincérité !

Comprendre les comportements humains et les passions comme des phénomènes naturels et nécessaires est libérateur : cela affranchit des désirs et des croyances qui poussent à imaginer le réel tel qu’il n’est pas.

Ne confondons pas liberté et ignorance. Comme l’ensemble des éléments de la Nature, l’homme est dans sa conduite également soumis à des lois naturelles : des passions.

Comprenons sans jugement qu’il n’y a aucune véritable séparation entre nos ressentis et notre connaissance intellectuelle Etre attentif au dialogue entre la raison et les passions libère de l’illusion du libre arbitre et permet de ne pas se sentir condamné à subir. En comprenant, l’homme devient actif.

Acceptons que nos sentiments et nos ressentis ne sont pas des défauts mais des témoins de l’évolution de notre rapport à nous-même.

Ce qui donne…

Connaitre les limites de sa liberté rend libre et permet à l’homme se réaliser en tant qu’être rationnel. En bref, au repas de Noël, ne pleurez plus la stupidité de votre oncle raciste…

Une citation décryptée par Ludovic Balent Toutes ses publications

4 commentaires pour “ « ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre. » – spinoza ”.

René Char a traité la question avec la formulation suivante : la lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil.

• Ping : Dossier thématique - Une randonnée philo autour du rire et des émotions - La Pause Philo
• Ping : Que faire des cons ?, par Maxime Rovere - Note de lecture - La Pause Philo

Analyse très politiquement correcte ce que la pirouette finale confirme si besoin était. Spinoza a clairement dit vouloir comprendre , plutôt qu’haïr, moquer ou prendre en pitié mais jamais de “réconcilier” quoique que ce soit. Tout est à l’envi. On a la désagréable impression de lire un devoir de terminale. Pour une pause philo, c’est un peu court.

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Je ne pleure jamais, c'est normal ?

Jamais une larme. Que ça soit pour un truc grave ou très émouvant, rien à faire, ça ne vient pas.

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Soyez réaliste.

Ce n’est pas parce que vous ne versez pas votre larme à chaque événement un peu intense que vous avez pour autant un cœur de pierre. Et vous êtes bien placée pour le savoir. Parce que oui évidemment que cela vous a bouleversé lorsque Claire vous a annoncé son mariage . Alors dans le fond pourquoi est-ce que cela vous dérange tant que ça de ne pas pleurer ? N’est-ce pas plutôt le regard des autres qui vous pèse ? Pour faire simple, vous avez tout simplement peur qu’ils pensent que vous êtes dure et insensible.

Faites-vous confiance

Peut-être que petite fille, on ne vous a pas vraiment laissé exprimer vos émotions. Du coup vous avez pris l’habitude de vous contenir. Pour les aider à refaire surface, verbalisez ce que vous ressentez. Un « je suis tellement heureuse pour toi » suffit en général à faire comprendre à l’autre ce que vous ressentez. Par ailleurs, sachez que les émotions mêmes freinées trouvent toujours d’autres chemins pour s’exprimer. Vous ne pleurez pas. Soit. Mais peut-être qu’à l’annonce d’un événement : vous vous mettez à parler plus vite, à bafouiller, à sursauter… C’est autant de signes qui trahissent vos émotions et qui informent votre entourage sur votre état d’esprit. Demandez donc à ceux qui vous connaissent. Vous serez surpris de constater qu’ils sont loin de penser que yeux secs = cœur sec !

À propos de l’auteur.e

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Comment ne pas pleurer au bureau malgré un plein d’émotions

Ne pas pleurer n’est pas toujours si évident qu’on le croirait. En effet…

Il est courant de voir des personnes pleurer pendant des funérailles, ou lorsqu’elles regardent un film triste ou écoutent une musique mélancolique.

De même que certaines personnes se retrouvent en larmes lorsqu’elles sont remplies de colère, de contrariétés ou de déception pendant une dispute, ou simplement lorsqu’elles parlent de quelque chose d’important.

Cette sensibilité à fleur de peau peut quelques fois être embarrassante, notamment lorsqu’elle n’est pas contrôlée sur le lieu de travail. Imaginez éclater en sanglots tous les 4 matins au bureau lorsque vous avez un échange vif avec votre manager ou un autre collègue?!

Si vous manifestez cette sensibilité, la bonne nouvelle c’est qu’il existe des méthodes pour ne pas pleurer même quand vous êtes bousculé par un trop plein d’émotions.

Sachant cependant que souvent par nos larmes nous relâchons des émotions qui nous étouffent et qui cherchent désespérément un chemin pour s’exprimer. Raison pour laquelle quelques fois, pleurer aide aussi à se sentir mieux.

Dans cet article nous vous disons pourquoi vos émotions peuvent parfois vous jouer des tours, quand est ce qu’il est préférable de ne pas pleurer en public, et nous partageons 7 trucs et astuces pour éviter de pleurer lorsque l’environnement ne s’y prête pas.

Pourquoi ne pas pleurer en public ?

Pleurer est humain. Cependant, lorsque vous pleurez devant des personnes ne faisant pas partie de votre intimité – notamment au travail -, vous courez le risque de perdre votre crédibilité et le cas échéant, votre autorité.

En effet, la perception qu’on a de vous lorsque vous pleurez dépend de plusieurs facteurs, notamment :

• La fréquence à laquelle vous pleurez
• L’environnement dans lequel cela se produit
• Les relations que vous entretenez avec les personnes présentes lorsque vous pleurez

Selon une étude américaine, 70% des salariés s’accordent à dire que pleurer c’est bien de temps à temps, mais si ça se produit trop souvent, cela peut nuire à votre carrière.

Et pour cause, dans un environnement compétitif comme celui du monde professionnel, exprimer régulièrement ses émotions en versant des larmes peut renvoyer l’image de quelqu’un de faible ou d’immature.

En effet, seuls 30% des salariés sondés estimaient que le fait de pleurer n’avait aucun impact négatif sur la personne et que bien au contraire, ça la rendait encore plus humaine.

De manière générale, on observe que lorsqu’une personne pleure au bureau à cause d’une difficulté personnelle (licenciement, divorce, maladie, décès, enterrement…) elle peut être perçue de manière neutre. C’est à dire que l’entourage est compréhensif, et place ces larmes dans un contexte compréhensible qui justifie de ne pas juger durement la personne en larmes.

Par contre lorsqu’une personne a tendance à pleurer dans d’autres circonstances (évaluation des performances, approche d’une échéance stressante, discussion vive, en cours de réunion…), celle-ci est généralement perçue comme faible, non professionnelle, voire même manipulatrice .

Pour toutes ces raisons il est préférable quand on peut se retenir, de ne pas pleurer en public, notamment dans des environnements professionnels.

Il faut d’autant plus éviter de céder à vos émotions lorsque vous êtes dans un contexte de rapport hiérarchique ou dominant. Par exemple un employé qui parle à son supérieur, une femme dans un groupe d’hommes, un collaborateur en face d’un conseil d’administration, etc.

Comment contrôler ses émotions pour ne pas pleurer

Il arrive à tout le monde de pleurer. Mais si vous avez l’impression que vous pleurez trop souvent, que vous perdez bien souvent le contrôle de vos émotions et que ça se traduit par des pleurs, il se peut que vous ayez un problème plus profond, peut-être lié à des difficultés à gérer le stress , à des troubles dépressifs ou simplement à un problème personnel passager.

Pour contrôler vos émotions, vous devez déjà essayer d’éliminer les sources de stress dans votre vie. Pour cela, vous pouvez suivre ces étapes qui vous permettront d’identifier, de faire face et de gérer le stress au quotidien.

• Identifiez ce qui provoque votre stress (et vos pleurs) . Est-ce un problème personnel, votre environnement de travail, les gens qui vous entourent ou autre chose ?
• Réduisez votre niveau d’engagement professionnel et personnel. Le travail excessif est une cause majeure de stress dans la vie de nombreuses personnes. Si en plus vous avez des engagements familiaux, associatifs, sociaux ou autres, il faut faire le point et supprimer tout ce qui peut l’être, au moins pour un temps.
• Gardez le contrôle sur vos échéances. Les délais serrés et la procrastination participent à générer du stress. Pour ne pas rentrer dans une spirale négative, évitez de procrastiner et fixez-vous des objectifs journaliers réalistes pour aller au bout de vos projets.
• Demandez de l’aide lorsque vous en avez besoin. N’hésitez pas à vous tourner vers des personnes de confiance de votre vie (amis, famille et collègues) pour solliciter de l’aide lorsque vous vous sentez dépassé.
• Trouvez un passe-temps. Avoir des loisirs, des passions ou faire du bénévolat peut aider à réduire votre niveau de stress général. Les activités non compétitives telles que la lecture, la pêche ou le jardinage ont souvent des puissants pouvoirs pour soulager le stress.
• Utilisez des techniques de relaxation. Respirer profondément, s’étirer, visualiser une scène paisible ou répéter un mantra positif peut aider à calmer votre cerveau et votre corps lorsque vous vous sentez stressé.
• Assurez-vous de dormir suffisamment. Le manque de sommeil peut exacerber votre sensibilité, au point de laisser vos émotions vous dominer lorsque vous faites face à un stress. Essayez de dormir entre 7 et 9 heures par jour, comme tout adulte devrait. Si vous avez des difficultés à trouver le sommeil, nous avons 14 astuces à essayer lorsqu’on ne trouve pas le sommeil .

Comment faire pour ne pas pleurer

Si vous êtes dans un environnement que vous jugez inapproprié pour pleurer et que malgré tout vous sentez vos émotions vous submerger, voici 7 astuces à essayer pour éviter de fondre en larmes en public.

En suivant ces conseils vous devriez à minima réussir à retarder vos larmes, le temps de trouver un endroit intime pour vous laisser aller.

Gardez toutefois à l’esprit qu’il n’y a pas de solution miracle et que quelques fois les larmes couleront quand même, malgré vos efforts. Mais ça ne coûte rien d’essayer.

1. Respirez profondément

Inspirez et expirez de grosses bouffées d’air en ralentissant votre rythme, pour notamment ne pas attirer l’attention sur vous lorsque vous êtes entouré.

La bonne technique consiste à inspirer une profonde et longue respiration, la maintenir environ 5 secondes, avant d’expirer. Cela permet de réinitialiser la gorge et le cerveau, repoussant ainsi l’irruption émotive.

2. Changez vos pensées et votre état d’esprit

Dès lors que vous sentez que vous allez commencer à pleurer, détournez vos pensées de ce qui vous donne envie de pleurer et pensez plutôt à autre chose – un moment heureux, une scène amusante d’un film ou quelque chose dont vous êtes fier ou même à votre chien.

C’est une technique d’intervention parfois utilisée en thérapie qui s’appelle l’arrêt de la pensée ou le remplacement de la pensée.

3. Inclinez légèrement la tête vers votre poitrine

En inclinant la tête vers votre poitrine, les larmes s’accumulent au bas des paupières et sont plus susceptibles de tomber verticalement plutôt que de couler sur votre visage.

Ce faisant, cela permet d’arrêter aussi le flux de sécretion des larmes, ce qui peut aider à retrouver votre concentration.

4. Pincez-vous la peau entre le pouce et l’index

C’est une astuce de grand-mère qui consiste à détourner votre attention qui est sur votre trop plein d’émotions, pour la déplacer sur quelque chose de furtif, telle une douleur passagère.

En vous pinçant fort, votre cerveau oubliera un instant la montée des larmes pour s’occuper de la douleur qui se propage.

5. Faites un poker face (visage neutre)

Généralement les expressions de votre visage peuvent annoncer une montée imminente de larmes.

Tant que vous pouvez, essayez d’afficher un visage aussi neutre que possible, pour ne pas encourager la personne en face à avoir une attitude ou des mots qui pourraient précipiter l’explosion de larmes.

6. Clignez des yeux rapidement

Cette astuce est utile si vous avez déjà commencé à pleurer et que vous essayez d’arrêter le flot. Par contre si vous êtes tout juste au stade de l’envie de pleurer, évitez de cligner des yeux autant que possible, cela pourrait empêcher les larmes de couler.

7. Eloignez-vous de la source de tension

Quelque fois la meilleure chose à faire est de vous éloigner physiquement de la situation qui attise vos émotions.

Si vous dirigez une réunion, vous pouvez dire à tout le monde de faire une pause de 10 minutes. Sinon vous pouvez sortir tranquillement, comme pour aller aux toilettes.

L’expérience montre que lorsqu’une personne pleure alors qu’elle est entourée ou écoutée, elle a tendance à pleurer encore plus, se faisant submerger par le regard des autres. Pour pleurer brièvement, il vaut mieux donc s’isoler avant de reprendre le fil.

Autres questions sur comment éviter de pleurer

Comment ne pas pleurer à un enterrement.

Avant toute chose il faut se rappeler que pleurer c’est normal, à plus forte raison dans un contexte de funérailles, où sans doute vous êtes rempli de tristesse suite à la perte d’un être cher.

Pleurer fait partie du deuil, et il faut savoir l’accepter. Mais si quelques fois vous avez besoin de cesser de pleurer, des techniques simples consistent à respirer, à bouger, à boire de l’eau et à essayer de rentrer dans une conversation, pour ne pas rester replier sur vos pensées tristes.

Comment ne pas pleurer en coupant un oignon

Déjà il faut comprendre pourquoi le fait de couper les oignons fait pleurer…

Lorsque vous coupez ou écrasez un oignon, une enzyme naturelle appelée alliinase entre en contact avec une autre molécule, l’acide sulfénique. Lorsque cela se produit, cela crée une sorte de gaz (liquide) lacrymogène très volatil. Ce gaz est un mécanisme de défense pour l’oignon pour se protéger des microbes et animaux.

Pour éviter de pleurer lorsque vous coupez des oignons, l’enjeu est donc d’éviter au maximum la propagation de cette enzyme agressive.

Pour cela commencez par utiliser un couteau bien aiguisé afin de trancher fermement sans risquer de trop écraser les cellules des oignons qui vont libérer encore plus d’enzymes en se déchirant.

Avant de les couper, vous pouvez également réfrigérer les oignons ou glisser des oignons pelés dans un bol d’eau glacée pendant 30 minutes, ce qui atténuera l’effet de l’enzyme, en le rendant moins volatil.

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ESSAYEZ DE NE PAS PLEURER (99% IMPOSSIBLE) #3

Ajouté le mar. 1 sept. 2020 Jeux vidéo Rectangular HD

CETTE VIDÉO VA VOUS RENDRE TRISTE.. 📸Mon Instagram : https://www.instagram.com/thefraghdytb/ VIENS SUR INSTA POUR GAGNER DES CADEAUX POTO ! 👻Mon Snapchat (tout le monde peut m'ajouter) : thefraghd 🔵Ma page Facebook : http://lc.cx/Wc3 🐤Mon Twitter : http://twitter.com/#!/TheFragHD 📧Mail pro : [email protected] 💬Mon Discord pour délirer et parler avec moi : https://discord.gg/Vb6rKSv Nouveau concept sous forme de zapping, alors je compte sur vous pour faire péter la barre des j'aimes svp ! Montrez moi que ma communauté est encore là pour me soutenir :p Plus la vidéo aura de retour, plus je vous en re proposerai d'autres ! #pleurer #essayez #impossible

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Apprenez des meilleurs

Vous n’arrivez pas à pleurer ? Voici ce qui pourrait se passer

Vous avez parfois envie de pleurer mais vous n’y arrivez pas ? Vous ressentez cette sensation de picotement derrière les yeux, mais les larmes ne coulent toujours pas.

Peut-être n’avez-vous jamais envie de pleurer, même lorsque vous êtes confronté à des circonstances extrêmement désagréables ou pénibles. D’autres personnes autour de vous pleurent, mais pour vous, les larmes ne viennent tout simplement pas.

Si vous ne pouvez pas verser de larmes, vous pouvez vous demander pourquoi vous avez du mal à pleurer.

Poursuivez votre lecture pour en savoir plus sur les raisons médicales et émotionnelles qui se cachent derrière une incapacité à pleurer et sur la façon dont vous pouvez y faire face.

Raisons médicales

Certaines conditions médicales peuvent affecter votre capacité à produire des larmes, notamment :

Keratoconjunctivitis sicca

Cette condition, plus communément appelée syndrome de l’œil sec, implique une diminution de la production de larmes.

Elle peut apparaître plus fréquemment avec :

• la grossesse ou les changements hormonaux liés à la ménopause
• l’âge, la sécheresse oculaire étant assez fréquente chez les adultes plus âgés
• problèmes thyroïdiens
• arthrite rhumatoïde
• utilisation de lentilles de contact
• inflammation ou troubles des paupières

Syndrome de Gougerot-Sjögren

Cette affection auto-immune, qui se développe souvent à la suite d’une maladie virale ou d’un accident vasculaire cérébral (AVC), peut entraîner une diminution de la production de larmes, cette maladie auto-immune, qui apparaît souvent à la suite d’une infection virale ou bactérienne, se manifeste le plus souvent chez les femmes de plus de 40 ans.

Le syndrome de Sjögren pousse les globules blancs de votre organisme à attaquer les glandes qui produisent de l’humidité, comme les canaux lacrymaux et les membranes muqueuses.

Cela peut entraîner une sécheresse des yeux et de la bouche.

Facteurs environnementaux

Si vous vivez dans un climat sec ou très venteux, vous remarquerez peut-être que vous ne produisez pas autant de larmes. Cela est dû au fait que la sécheresse de l’air entraîne une évaporation rapide des larmes.

Cela peut également se produire si l’air devient enfumé en raison de feux de forêt ou d’autres causes.

Médicaments

Certains médicaments peuvent également entraîner une diminution de la production de larmes.

Vous pourriez remarquer des difficultés à pleurer lors de la prise de médicaments :

• les pilules contraceptives, surtout si vous portez également des lentilles de contact
• inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)
• antihistaminiques ou décongestionnants
• médicaments contre la tension artérielle

Le LASIK peut également affecter la production de larmes, il n’est donc pas rare d’avoir les yeux secs après cette opération.

Autres raisons

Si vous ne souffrez pas d’une affection médicale affectant la production de larmes, vos yeux secs peuvent potentiellement être liés à des facteurs émotionnels ou mentaux.

Dépression avec mélancolie

Les différents sous-types de dépression peuvent impliquer une série de symptômes plus ou moins graves, de sorte que les personnes atteintes de dépression ne vivront pas nécessairement la dépression exactement de la même manière.

La dépression mélancolique est un type de trouble dépressif majeur qui s’accompagne généralement de symptômes graves.

Dans le cas de la dépression mélancolique, vous pouvez vous sentir :

• inémotif ou “plat”
• sans espoir, sombre ou désespéré
• désintéressé par le monde qui vous entoure

Vous pouvez ne pas réagir aux événements, en particulier aux événements positifs, comme vous le feriez habituellement. En fait, vous pourriez avoir l’impression de n’avoir que peu ou pas d’émotions du tout, ce qui peut se traduire par une incapacité à pleurer.

C’est logique si vous y réfléchissez. Si vous avez l’impression que vos émotions ont été déconnectées ou éteintes, vous ne pouvez probablement pas produire beaucoup de réponses émotionnelles.

Bien que l’anhédonie soit souvent un symptôme de la dépression, elle peut également se développer en tant que symptôme d’autres conditions de santé mentale ou en tant que telle.

L’anhédonie décrit une perte d’intérêt et de plaisir pour les activités sociales ou les sensations physiques.

La diminution du plaisir n’est pas le seul symptôme. Vous pouvez également constater une diminution de la capacité à exprimer vos émotions. Certaines personnes souffrant d’anhédonie, en particulier de dépression anhédonique, remarquent qu’elles ne peuvent plus pleurer facilement – ou pas du tout.

Emotions refoulées

Certaines personnes ont du mal à gérer leurs émotions et les repoussent ou les enfouissent pour faire face à la situation.

Cette suppression peut être intentionnelle au début, mais avec le temps, elle devient plus automatique.

En fin de compte, il se peut que vous ressentiez la plupart de vos émotions de façon modérée, voire pas du tout. Même si quelque chose de profondément bouleversant se produit, vous ne réagirez peut-être pas beaucoup.

Si rien n’affecte votre capacité physique à pleurer, les larmes ne viennent tout simplement pas.

Croyances personnelles concernant les pleurs

Si vous pensez que pleurer expose votre vulnérabilité ou suggère une faiblesse, vous pourriez retenir vos larmes intentionnellement. Les gens commencent souvent à considérer les pleurs comme un signe de faiblesse lorsque d’autres personnes, y compris les parents, les frères et sœurs et les pairs, leur font honte parce qu’ils pleurent pendant l’enfance.

L’incapacité à pleurer peut également devenir un comportement acquis. Si les membres de votre famille et vos proches ne pleurent jamais, vous n’apprendrez peut-être jamais à considérer les pleurs comme une forme naturelle d’expression émotionnelle.

Est-ce vraiment si important ?

Vous serez peut-être surpris d’apprendre que les pleurs sont en fait très importants.

Les larmes ont plusieurs fonctions différentes. Ils sont bénéfiques pour votre corps, mais ils procurent également un sentiment de soulagement et de catharsis émotionnelle.

• Au niveau le plus élémentaire, les pleurs aident à garder vos yeux propres et sains en les débarrassant de la poussière et des débris.
• Les larmes aident également à soulager la douleur grâce à la libération d’endorphines, de sorte que pleurer après une blessure douloureuse peut vous aider à vous sentir mieux.
• Pleurer est également un moyen d’exprimer vos émotions, ce qui peut soulager le stress et la tension et améliorer votre humeur lorsque vous êtes contrarié.
• Vos larmes indiquent également aux autres personnes que vous êtes triste, ce qui leur permet de savoir que vous pourriez avoir besoin de réconfort et de soutien. Pleurer peut donc, d’une certaine manière, contribuer à renforcer vos liens avec les personnes qui vous entourent.

Exercices à essayer

Si vous présentez d’autres symptômes qui suggèrent que votre incapacité à pleurer pourrait être liée à un problème de santé physique ou mentale, vous pouvez commencer par en parler à votre prestataire de soins de santé primaires ou à un professionnel de la santé mentale.

Une fois qu’un fournisseur de soins de santé a écarté toute affection grave, vous pouvez essayer quelques mesures pour faciliter la libération par les larmes.

Prenez le temps d’explorer vos réactions

Si vous avez pris l’habitude de supprimer ou d’éviter les sentiments intenses, il se peut que vous ne remarquiez pas beaucoup de réactions lorsque vous êtes confronté à une situation profondément émotionnelle, comme la perte d’un être cher ou le fait de rater une occasion rêvée.

Les nier vous déconnecte de vos expériences et bloque les moyens naturels d’expression émotionnelle, comme les pleurs.

Prendre conscience de ses émotions

Il est difficile d’exprimer ses émotions lorsqu’elles vous effraient ou vous déconcertent, car cela vous pousse généralement à les bloquer.

Pour vous entraîner à reconnaître et à accepter vos émotions, ne les niez pas. Essayez plutôt de :

• Dire ce que vous ressentez à voix haute. Même si c’est juste pour vous-même, vous pouvez dire ” je me sens en colère “, ” je me sens triste ” ou ” je me sens blessé “.
• Écrire vos sentiments. Tenir un journal peut vous aider à vous connecter aux émotions sur le moment, mais cela vous permet aussi de vous entraîner à les décrire à vous-même avant de les partager avec d’autres personnes.
• Rappeler que c’est normal. Rappelez-vous qu’il est normal d’avoir des émotions, même intenses.

Trouver un espace sûr pour exprimer vos sentiments

Vous ne vous sentez peut-être pas à l’aise pour exprimer vos émotions en public, et c’est tout à fait normal. Cela peut prendre du temps avant que le partage des émotions avec quelqu’un d’autre ne devienne possible, et encore moins naturel.

Eviter complètement vos émotions n’est pas non plus la solution. Essayez de trouver un endroit privé où vous pouvez faire le tri dans vos sentiments et exprimer des émotions intenses et des larmes.

Il peut s’agir de votre chambre à coucher, d’un endroit tranquille dans la nature où vous êtes toujours seul, ou de tout autre endroit où vous savez que vous ne serez pas dérangé.

Parlez à des personnes en qui vous avez confiance

Une fois que vous êtes plus à l’aise avec vos émotions, vous pouvez essayer de les partager avec des personnes qui vous sont chères.

Il n’y a rien de mal à commencer par de petites choses. Par exemple, vous pouvez vous ouvrir à votre partenaire ou à votre meilleur ami avant toute autre personne.

Parler aux autres de ce que vous ressentez peut aider à normaliser vos émotions, car il y a de fortes chances qu’ils puissent valider ces sentiments ou partager des expériences similaires avec vous.

Lorsqu’il est plus facile de parler de ses sentiments, vous remarquerez peut-être qu’il devient également plus facile de les exprimer d’autres façons, y compris en pleurant.

Laissez-vous émouvoir

Ce n’est pas toujours le cas, mais regarder un film d’horreur ou écouter de la musique émouvante ou triste peut parfois faire couler des larmes.

Si vous voulez vous entraîner à pleurer, le fait de regarder ou d’entendre l’expérience émotionnelle d’une autre personne peut vous réconforter en vous faisant verser quelques larmes.

Bonus : regarder des films profondément émouvants peut également accroître votre empathie et votre compassion pour les autres.

Comment la thérapie peut aider

Si vous avez du mal à pleurer parce que vous n’êtes pas à l’écoute de vos sentiments, il se peut que vous ayez également du mal à exprimer vos émotions d’une autre manière. Si c’est le cas, le soutien d’un thérapeute peut s’avérer très bénéfique.

Il est important d’être plus à l’aise avec vos émotions, non seulement pour vos relations intimes, mais aussi pour votre santé émotionnelle en général.

Si vous ne savez pas exactement pourquoi vous n’arrivez pas à pleurer ou à exprimer facilement vos émotions, un thérapeute peut vous offrir des conseils et un soutien empreints de compassion alors que vous commencez à explorer ce problème.

Si vous avez essayé d’être plus à l’aise avec les émotions intenses par vous-même, mais que vous n’avez pas eu beaucoup de succès, parler à un thérapeute pourrait être une prochaine étape utile.

L’essentiel

Certaines personnes pleurent plus facilement que d’autres, et c’est normal. Les gens sont différents, il est donc logique que l’expression émotionnelle varie d’une personne à l’autre.

Si vous ne pouvez pas pleurer du tout, vous risquez d’avoir du mal à gérer vos propres émotions, et vous pourriez aussi avoir du mal à vous rapprocher des autres.

En fin de compte, pleurer est normal, alors ne vous inquiétez pas d’essayer de retenir ces larmes – elles sont tout à fait naturelles.

Crystal Raypole a précédemment travaillé comme rédactrice et éditrice pour GoodTherapy. Elle s’intéresse aux langues et à la littérature asiatiques, à la traduction japonaise, à la cuisine, aux sciences naturelles, à la positivité sexuelle et à la santé mentale. En particulier, elle s’est engagée à aider à réduire la stigmatisation autour des questions de santé mentale.

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FabioGoncalves

Lydie salvayre.

Je ne sais plus pleurer

Depuis plus de trois ou quatre ans je ne pleure pratiquement plus (choc émotionnel important) le problème c’est que je ne ressens plus les émotions se rapportant à la tristesse. Cela m’empêche de comprendre la réaction des autres face à des choses tristes. Il m’arrive de temps en temps de pleurer sans savoir pourquoi et comment. Je me pose souvent des questions sur le fait que cette émotion a disparu de mon esprit et que je ne sais plus à quoi elle sert ni comment m’en servir. En tout cas merci pour celui/celle qui me répondra.

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Bonjour Dehia, Face au choc émotionnel que vous avez connu il y a trois ou quatre ans, vous avez mis inconsciemment en place une barrière pour souffrir le moins possible. C'est pourquoi vous avez l'impression de ne plus ressentir de tristesse. De la même façon vous vous interdisez d'être trop atteint par la tristesse des autres. Mais votre capacité de compassion est toujours là, enfouie derrière le barrage que vous avez construit. C'est pourquoi quelques "fuites" apparaissent ici et là et que de temps en temps vous ne pouvez vous empêcher de pleurer. Ces larmes sont un bienfait pour vous indiquez que votre capacité d'émotions est toujours là. Mais il faut faire attention que le barrage ne saute pas brusquement. Il faut donc revenir au choc émotionnel d'origine et voir comment ouvrir tout doucement les vannes. Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Bon courage à vous Michel le BAUT

3881 réponses

20151 J'aime

Merci d'avoir donné votre avis !

19 réponses

Bonjour Dehia Qu'est-ce qui concrètement vous fait dire que vous ne ressentez plus les émotions comme la tristesse? Que vous est-il arrivé de très douloureux au point d'avoir été dissociée de vos émotions? Ce sont les quelques questions que je vous poserai pour vous aider dans votre thérapie en fonction de votre demande d'aide... Les émotions arrivent dans notre coeur et très souvent débordent quand on ne peut pas les entendre... Elles ont été créées par des blessures qui saignent encore, mises dans notre coeur par des événements très douloureux que l'on a vécus... Ce n'est qu'en remontant au trauma de base et à l'origine de ces blessures que vous pourrez vous libérer de ces peurs que vous ressentez . Je vous invite à consulter mon profil pour des informations supplémentaires sur la libération des émotions et les addictions... et J'assure les consultations en ligne. Mme D.A. GRAF-LAPEYRE

280 réponses

538 J'aime

Réalisez une thérapie en ligne

Bonjour DEHIA. Un "choc émotionnel" fige les choses dans le corps, et la tristesse est toujours présente, là, à l'intérieur de notre vase émotionnel qui continue de se remplir, mais sans que nous nous en rendions vraiment compte puisque le choc émotionnel nous a coupé de nos ressentis, qu'ils soient physiques, émotionnels, intuitifs ... Il y a alors deux pistes possibles à explorer : 1. Aller défiger ce qui s'est bloqué en apprenant, en sécurité, à oser de nouveau aller sentir à l'intérieur... et apprendre le rôle de chaque émotion, et pourquoi viennent-elles frapper à notre porte. Les émotions ne sont en fait qu'un signal qui est là pour nous pousser à agir... 2. Aller travailler sur le "choc émotionnel" en prenant soin de ne pas re-traumatiser ; pour cela, il y a un certain nombre de précautions à mettre en place, et cela peut se faire en douceur et de façon ludique, afin de créer ce que l'on appelle un "faux souvenir" (notre cerveau en créé quotidiennement de façon spontanée et naturelle!) qui va venir transformer le choc émotionnel en un souvenir plus doux, qui sera alors accepté par la psyché, et rangé avec tous les autres souvenirs que nous avons, mais plus sur l'étagère des traumas et autres chocs émotionnels. Si vous avez besoin de plus de précisions, je me tiens à votre disposition ; si vous n'êtes pas basée en région parisienne, nous pouvons convenir d'un rendez-vous en télé-consultation ou par téléphone si vous le souhaitez? En espérant avoir répondu à votre question. Bien cordialement. Olivier BERGER Sophrologue. Praticien en hypnose et thérapie

8 J'aime

Bonjour Dehia, Un grand choc provoque une sidération, et déconnecte le système émotionnel pour protéger. C'est avant tout un mécanisme de défense. Cela peut prendre du temps de revenir à soi, et laisser émerger une grande tristesse. Essayez de sentir quel type d'accompagnement vous attire le plus..et prenez le chemin qui permet d'être aidée en toute sécurité. Seule c'est toujours difficile. En restant à votre écoute, Myriam, thérapeute spécialisée en accompagnement psycho-émotionnel

109 réponses

65 J'aime

Bonjour Dehia Ce choc vous a tellement bouleversée que vous vous êtes coupée inconsciemment de la tristesse, ce qui vous a protégée de ce tsunami. Mais, comme vous le sentez, cela vous semble bizarre, car vous êtes coupée d'une partie de vous même. Et cela pourrait se reporter sur votre corps, par des somatisations, voire plus grave, si vous ne remontez pas à la source Je vous aide avec grande bienveillance et respect de votre rythme En présentiel, téléphone ou visio comme c'est le mieux pour vous Bien cordialement Inès Avot

6316 réponses

3344 J'aime

Bonsoir Dehia, Les chos émotionnels importants peuvent s'apparenter à des traumatismes. Face à l'importance "trop" importante de la charge émotionnel, le cerveau bloque les émotions acr sur le mome,nt elles seraient trop difficiles assimiler. Pour autant ces émotions restent bloquées dans le cerveau et dans le corps. Et contrairement aux animaux qui s'en libèrent spontannément nous avons perdu ce reflexe. Un cadre thérapeutique et un accompagnement sécurisant vous permettrons de libérer ce qui doit l'être pour retrouver votre bien être émotionnel. Je suis a votre écoute et à votre disposition si besoin. Je connais bien le mécanisme décrit si dessus si vous souhaitez un accompagnement. Je vous souhaite bon courage, Bien à vous, Corine Fiorenti Gesatlt et art thérapie Méditation thérapeutique Consultation au cabinet et en distanciel

62 réponses

136 J'aime

Bonjour Dehia, Vos propos sont un peu contradictoires : vous dites que vous ne savez plus pleurer mais que vous pleurez de temps en temps sans savoir pourquoi. Peut-être avez vous trop pleuré avant ? Le mieux serait de vous faire aider pour guérir de ce choc que vous avez reçu. Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme. Bien à vous Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique Guérison de l’enfant intérieur Hypnose Ericksonienne Soins énergétiques

6558 réponses

4350 J'aime

Bonjour vos émotions n’ont pas disparu rassurez-vous. Vous avez des larmes qui sont engendrées par des éléments déclencheur donc cette émotion de tristesse et bien présente. Cependant vous nous parler d’un choc émotionnel qui serai à l’origine de se blocage. Grâce à là pnl et à l’hypnose il serai intéressant d’aller voir quel parties de votre inconscient bloque ou et en conflit avec se sentiment. Il serai intéressant d’avoir plus de détail afin d’apporter une réponse à votre mal être et être plus pertinent afin de vous aidez en toutes bienveillance et non faire des suppositions. Je me tiens à votre service pour en discuter à très bientôt. Cordialement

190 réponses

114 J'aime

Bonjour Dehia, Vous avez compris énormément de choses sur vous-même & votre absence d'affect la plupart du temps. Vous notez bien que pour autant, de la tristesse arrive tout de même à s'exprimer, bien qu'en décalé. Comme mes consoeurs & confrères vous l'ont indiqué : c'est un mécanisme de défense. Vous avez déjà "compris" une partie des raisons de votre souffrance, tapie. Je vous encourage à rencontrer une ou un professionnel pour vous confier sur ce que vous avez vécu de si douloureux. Je vous souhaite de trouver les conditions nécessaires pour que vous puissiez ressentir de nouveaux dans une relation de confiance. Bonne continuation, Marie-Eve Brault Psychanalyste

17 réponses

5 J'aime

Bonjour Dehia, Le choc émotionnel reçu il y a quelques années n'a peut-être pas été processé correctement ou suffisamment par votre psychisme qui s'est déconnecté de votre émotionnel pour se préserver. En l'absence d'un suivi psychothérapeutique après le traumatisme, vous n'avez pas eu la possibilité de vous reconnecter à vos émotions ce qui fait qu'aujourd'hui, pleurer, qui est l'expression même de la tristesse ou de la souffrance et de la douleur vous est difficile. Si vous pleurez alors que la situation ne vous semble pas si triste que cela (vous dites pleurer de temps en temps sans savoir pourquoi et comment) c'est juste que votre psychisme à trouvé un moyen pour exprimer vos émotions négatives refoulées sans mettre en péril son intégrité puisque le contexte alors n'est pas traumatisant. (souvent regardant un film, ou de simples vidéos sur les RS). Autrement dit si vous ne savez pas pourquoi vous pleurez votre inconscient lui le sait. De plus, les émotions négatives qui ne sont pas exprimées, qui ne sont pas mises "en dehors" de vous, risquent de s'engrammer, de se fixer, dans votre organisme et de ressortir plus tard sous une forme psychosomatique, ce qui est à déplorer. Si vous en avez la possibilité il vous serait profitable de faire quelques séances de psychothérapie pour travailler un peu ce traumatisme et libérer les émotions qui y sont liées et qui n'ont pas pu être exprimées. Le cadre de la thérapie vous offre pour cela, la sécurité et la bienveillance nécéssaire au lâcher-prise. Bien à vous, Frédérique Pouzol Psychopraticienne Psychothérapie - Psychogénéalogie

521 réponses

2350 J'aime

Bonjour Dehia Vous dites avoir vécu un choc émotionnel important. Ce choc constitut sans aucun doute un traumatisme, qui est un véritable tsunami émotionnel et qui laisse des empreinte dans le corps. Cela peut être tout à fait normal car vous vous protégez. Votre système nerveux met en place un processus de protection afin de vous éviter de revivre le même tsunami. Il va sans doute vous être nécessaire et profitable de travailler sur votre traumatisme afin de libérer les blocages émotionnels et l'énergie négative que le traumatisme peut laisser dans le corps. Je vous souhaite de trouver le bon thérapeute qui va pouvoir vous accompagner dans cette libération traumatique. Je reste à votre disposition si vous souhaitez échanger ou plus. Prenez soin de vous. **Estelle CAMUGLI - Thérapeute holistique** Spécialisée post trauma Couple enfant adultes ***Thérapie en ligne***

394 réponses

3276 J'aime

Bonjour Dehia, Vous avez subi un traumatisme, un choc émotionnel important, comme vous le notez, et le trop-plein d'émotions qu'il a généré en vous a mis votre cerveau en mode "alerte sécurité" via un mécanisme de défense solide qui évite les situations ultérieures de confrontation avec la tristesse. Ressentez-vous d'autres émotions et vous autorisez-vous à les exprimer, ou cela ne se limite-t-il qu'à la tristesse? Avez-vous d'autres symptômes physiques? Souvent l'inhibition inconsciente des émotions s'exprime autrement, par le corps en l'occurrence. Le fait que vous pleuriez "en décalé" prouve que vous arrivez toujours à extérioriser cette tristesse, mais à distance de l'évènement qui a pu la causer, pour qu'elle soit moins souffrante sans doute. Cet état émotionnel n'a donc pas disparu, vous l'avez juste refoulé pour vous protéger. Travailler sur le traumatisme initial à l'aide d'un thérapeute vous permettra de réapprendre progressivement à accepter et exprimer plus sereinement votre tristesse, et je vous souhaite sincèrement de pouvoir vous y reconnecter. Cordialement, Esther GERARD Psychanalyste

10 réponses

7 J'aime

Bonjour Dehia, Suite à ce choc important et traumatisant, par protection, votre psychisme s'est fermé au ressenti de la tristesse. Il se pourrait que le deuil de ce choc (ou évènement) n'est du coup pas été véritablement vécu ou assimilé. L'émotion - malgré tout tapie quelque part au fonds de vous dans votre inconscient - ressurgit ainsi de manière décalée. Pour comprendre ce qu'il s'est passé et de nouveau être en capacité de vous connecter à vos émotions profondes, un travail sur vous (même de quelques séances) pourrait être bénéfique : travailler sur le choc, en parler, le conscientiser, intégrer en conscience l'impact du choc sur vos croyances, vos zones d'influence, votre communication; l'accepter pour pouvoir libérer de nouveau vos énergies... N'hésitez pas à contacter un spécialiste autour de vous qui pourra vous aider, Bien Chaleureusement, Fiona Sicre, Psychothérapeute Gestalt (Paris)

4 J'aime

Bonjour Dehia, Ce que vous décrivez ressemble à une dissociation, ou pare choc émotionnel, stratégie de protection qui peut se mettre en place suite à un trauma (choc émotionnel) afin d'éviter de souffrir. Cela a l'avantage de vous coupe de vos émotions douloureuses. L'inconvénient est de vous couper de toute empathie envers autrui, et peut-être de vivre votre vie en spectatrice, sans ressentir grand chose. Il s'agit pour vous, au cours d'une psychothérapie, de nettoyer le choc émotionnel à l'origine de ce blocage (EMDR ou NERTI), de mettre des mots sur vos ressenti et comprendre le rôle utile des émotions. Car si les débordements émotionnels sont pénibles et non souhaitables, les émotions primaires et bien gérées sont essentielles dans la relation à soi et aux autres. Bien à vous, Caroline GORMAND Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille, gestion du stress et des émotions (Visio consultations et consultations en présentiel, sur rendez-vous)

1832 réponses

2607 J'aime

Bonjour, Le mieux serait de consulter un.e professionnel.le, le temps d'explorer ensemble votre passé et renouer avec vos émotions. Vous pouvez prendre rendez-vous sur le site si vous vous sentez prête. Bonne journée Raphaëlle Richaud

60 réponses

25 J'aime

Bonjour Dehia, je ne peux que vous conseiller de chercher activement un professionnel spécialisé dans le traumatismes qui puisse vous aider a travailler sur cette événement et éventuellement d'autre pour pouvoir vous reconnecter à toute votre palette des émotions et retrouver la sérénité que vous mérite. Éventuellement vous pouvez regarder profile,( je travail principalement sur les traumatismes avec différentes techniques ) et voir si ça vous parle, sinon parmi mes collègues sur cette plateforme vous trouverez sûrement le professionnel qui fait pour vous. Bien à vous Simona D'Isanto

278 réponses

605 J'aime

Bonjour Dehia Vous parlez d'un choc émotionnel important. Dans ce que je comprends, vous avez mis en place une protection émotionnelle qui vous empêche d'être triste, pour vous protéger probablement face à ce choc. L'émotion était trop forte à ce moment là et vous ne la supportiez pas. Vous vous en êtes donc coupée. C'est un mécanisme de protection qui, sur le coup, vous a sauvée. Avez vous vu un thérapeute ou psychologue pour aller comprendre et réparer ce choc? Vous savez, les blessures affectives sont exactement comme les blessures physiques : si vous ne vous en occupez pas, si vous ne passez pas du temps à les désinfecter, les panser, les cicatriser, elles gangrennent et prennent de plus en plus de place. Elles gagneront du terrain jusqu'à ce que ça devienne insuportable pour vous et que vous fassiez quelque chose. Le travail thérapeutique consiste à revenir sur le choc émotionnel, à l'analyser et à le comprendre de façon à l'accepter et le "digérer" ou si vous préférez, de façon à "pardonner" ce qu'il s'est passé et de vous en libérer. Je me tiens à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus et vous souhaite sincèrement de trouver réponses à vos questions. Bien à vous Hélène CHAMBRIS Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative Rdv en ligne ou en présentiel à Marseille 8ème

1210 réponses

2343 J'aime

Bonjour, Vos questions sont précises : pourquoi la tristesse a disparu depuis quelques années pour vous ? À quoi sert la tristesse ? Comment se servir de cette émotion ? Votre première question est sans doute la plus importante, puisqu'elle se rapporte à votre histoire. Vous faites déjà une hypothèse en évoquant un choc émotionnel important. En général, l'émotion de la tristesse aide à traiter la douleur d'une expérience négative, à la métaboliser en quelque sorte. D'ailleurs, il y a probablement un lien entre votre perte de cette capacité et le fait qu'il vous arrive de pleurer sans savoir pourquoi ni comment. Pour retrouver cette capacité, vous pourriez vous engager dans un travail avec un professionnel. Karim Barkati, psychanalyste à Paris

101 réponses

212 J'aime

Bonjour Dehia, Vous semblez avoir bien analysé la situation : le choc émotionnel que vous avez subi vous a coupée de vos ressentis émotionnels. Il peut s'agir d'une formation réactionnelle face au traumatisme avec une forme de dissociation ou bien une sorte de "mécanisme de défense" qui vous tient à l'écart d'un ressenti trop fort de peur que la souffrance initiale ne se réactive. Je vous encourage à vous faire accompagner par un-e thérapeute afin de vous approcher progressivement de l'origine de vos souffrances et de recontacter vos émotions - douloureuses comme agréables. Je reste à votre disposition si vous souhaitez en parler. Bien cordialement, Nathalie Blanchard - psychopraticienne en cabinet (Savoie), par téléphone ou visioconsultation

84 réponses

71 J'aime

Votre choc émotionnel à bloqué votre ressenti. Ce blocage est un moyen mit en place par votre mental afin de vous protéger. Pour couper avec ce schéma il vous faut retrouver la souffrance initiale qui s’y rattache afin de comprendre, accepter, legitimer la souffrance qui s’y rattache. Pour cela : " La connaissance de soi " " L’expansion de conscience " sont des outils formidables et efficaces qui répondent à votre recherche. Je vous invite à vous renseigner. A participer à un stage qui changera votre vie. Je suis disponible pour tout renseignement complémentaire. Je vous remercie de votre confiance. Cordialement. Christine Lorijon.

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952 J'aime

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